23 septembre 2013

Greifenseelauf. Un jour sans.

Décidément, le semi-marathon est une distance bien difficile. Plutôt déçue de ma performance samedi, car au vu de mes derniers entraînements je pensais être assez bien pour "tenir" une allure qui m'amènerait assez proche de mon record de 1h17. Malheureusement, comme je l'avais dit, il fallait pour cela que je récupère des dernières séances dures très proches du semi. Ce qui, en étant encore pas totalement guérie de ma laryngite, et, de plus, avec un bébé également bien malade (donc des nuits entrecoupées et des journées difficiles), était un peu une utopie. Les bonnes conditions dont j'ai bénéficié avant la course, nuit d'hôtel au calme, météo optimale, n'ont pas suffi à la récupération.
J'ai peut-être aussi pêché par excès de confiance en partant (un peu trop) vite, me fiant à des bonnes sensations de surface. Mais un semi-marathon sans fraîcheur est très difficile à terminer. Un jour sans à oublier très vite pour ne pas se déconnecter de l'objectif principal : Frankfurt le 27 octobre.

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